lundi 9 juin 2008

Chaleur, quand tu nous tombes dessus....

Fallait-il aimer ses enfants pour cuire littéralement sous les chauds rayons du soleil lors de la compétition de samedi? Pour endurer l'écrasante humidité, qui nous oppressait un peu plus à chaque respiration? Les enfants qui habituellement se réchauffent le matin en parcourant à de nombreuses reprises la piste, se tenaient bien peinards à l'ombre, dans la valise du camion. Ils fallaient économiser les forces et boire énormément... Par bonheur, le vent était présent et caressait notre peau généreusement.

Fallait-il être un peu folle, pour réitérer l'expérience pour les jeux techniques de soccer dimanche de 9h à 1h30, sans autre ombre, que le gros poteau d'un lampadaire? Évidement, discuter et rire avec mes amies, (à passer autant de temps ensemble, elles sont presque devenues des amies intimes) fait passer le temps rapidement. L'une d'elles se demandait si sa fille serait reconnaissante plus tard d'autant de dévouement. Je lui ai répondu que ça transperçait déjà dans leur relation actuelle. Commentaire qu'elle a adoré, soit dit-en passant (et que je me répète souvent aussi)!!

Je suis vannée aujourd'hui. Voilà le résultat de mes excès. L'épuisement m'a rattrapée. Les enfants eux pètent le feu. Vive la jeunesse! Heureusement qu'on s'est enduit généreusement de crème solaire sinon, on aurait la même couleur que les homards que nous avons mangé hier soir.... Et puis maintenant la piscine est bleue que demander de mieux?

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